Depuis 3 ans, la ville a commencé à enfouir les réseaux électriques, téléphoniques et d’éclairage public dans les quartiers les plus anciens, tels que la rue de la Vistoule, la rue Française, l’impasse Mistral et la rue de l’Avenir. En avril prochain, les rues de la Source et des Peupliers suivront, puis la rue de Mazeilles l’an prochain. La ville investit environ 200 000 € par an dans ce projet qui améliore l’esthétique du quartier, garantit le bon fonctionnement et permet des économies grâce à l’utilisation de luminaires à LED.
Face à la raréfaction de l’eau, la ville procède également à la restructuration progressive des espaces verts de ses quartiers en plantes méditerranéennes et lierres rampants pour économiser cette ressource. Le fleurissement sera maintenu. Depuis plusieurs années, tous les bâtiments de la ville sont équipés de systèmes économiques pour la consommation d’eau. Certains espaces verts et stades sont arrosés avec l’eau des puits ou forages dans la nappe superficielle, plutôt qu’avec de l’eau du réseau potable.
Dans le cadre de son engagement en faveur de l’environnement, la ville va installer des panneaux photovoltaïques cette année pour produire de l’électricité verte et générer des revenus supplémentaires. Plus tard, une centrale solaire de 1500 mètres carrés sera installée sur les toits de l’Espagnac, directement par la ville, qui en retirera les revenus de l’autoconsommation. La compensation environnementale se met en place petit à petit sur le corridor écologique et les terres de l’Espagnac.
