Comme nous le faisons régulièrement, nous entretenons nos fosses d’évacuation d’eaux pluviales et nos bassins de rétention.
C’est la raison de leur bon fonctionnement.
Depuis 25 ans, malgré de nombreux épisodes méditerranéens parfois violents — notamment en 2019 — jamais nous n’avons connu de débordements.
En ce moment, nous nous attardons sur le grand fossé de contournement qui va de la Route de Vendres à la Route de Béziers. Nous traitons particulièrement les végétaux et les vignes vierges qui s’agrippent à certaines clôtures riveraines.
Depuis 15 jours, nous avons commencé la construction du gros merlon de terre au-dessus du quartier des Moulières.
Il est destiné à intercepter les eaux de ruissellement du coteau et nous le construisons avec des dimensions supérieures à celles préconisées par l’étude hydraulique, tout en veillant à ce que son entretien soit facile à l’avenir.
En même temps nous reprofilons le chemin qui descend le long du cabinet de kiné et qui devient un ruisseau lors des orages.
Quand il débouchait dans les vignes ce n’était pas grave mais maintenant il faut protéger ce quartier.
Dans quelques semaines il sera réouvert aux promeneurs.
La terre provient d’un chantier en cours aux Portes de Sauvian.
Nous avons passé une convention avec l’entreprise, qui économise ainsi l’évacuation et la mise en décharge.
En échange, la mise en place, le compactage et le réglage de cette digue ne coûtent rien à la ville.
Grosse économie pour l’entreprise et pour la ville.
Être au plus près du terrain permet de saisir des opportunités.
